Sur la route des nouvelles énergies

« Nouvelles énergies », c’est le slogan du PLR pour les prochaines élections communales. Et la preuve -finalement – que l’Alliance de Gauche a su choisir avec pertinence et clarté le premier ses thèmes de campagne : les crèches.

Les nouvelles énergie, par excellence, sont nos enfants, les enfants de chez nous, les enfants d’ailleurs, les enfants des autres, les enfants des nôtres, les enfants de Sion, ici et maintenant. Les enfants sont les forces de créativité de demain, ceux-là mêmes qui nous épauleront demain, qui sauront oeuvrer, mieux que nous ou autrement, pour le bien de la cité.

Les nouvelles énergies de demain, ce sont tous ces enfants qui aujourd’hui, avec leurs parents demandent depuis plusieurs années plus de places dans les crèches, plus d’espaces, plus de lieux, plus de moyens. Et plus d’égalité.

Les enfants d’ici et de maintenant, à Sion, sont les enfsnts de tous, des riches et des pauvres, des intellos et des ouvriers, des familles unies ou décomposées, des basanés et des blancs de peau, des fonctionnaires et des indépendants, des jeunes et des moins jeunes, des musiciens et des sportifs, des votants et des abstinents. Les enfants, nos nouvelles énergies, ces créateurs par excellence du lien « soucial », doivent pouvoir réunir sous une même bannières les responsables de la cité.

Et ces nouvelles énergies, nos enfants d’ici et de maintenant, la cité doit pouvoir les accueillir chaque jour dans des lieux de vie et d’accueil à des conditions financières acceptables pour tous.

La cité, jeunes et vieux confondus, femmes et hommes réunis, doivent oser l’impossible (le réel) : la gratuité d’accès dans les crèches.

Sion, avec nos enfants, c’est ici et maintenant.

Une réponse à Sur la route des nouvelles énergies

  • Opale dit :

    J’apprends dans une tablée que le centre scolaire primaire du Sacré-Cœur à Sion compte 15 nationalités représentées. Et bien, chaque année, les instituteurs et les institutrices donnent livraison au cycle de 50 gamins qui possèdent le programme de 6ème primaire dans leurs bagages. Cherchez pas.

    Il est là le génie helvétique. Chez les instituteurs et les institutrices. Recevoir le petit Vietnamien, la petite Somalienne et le petit Vénézuélien en 1ère et clac! 6 ans plus tard, ils savent lire, écrire, compter et réfléchir. Elle est là la forge où le miracle s’accomplit chaque jour et qui fait que notre société ne part pas complètement en vrille.

    Cette source m’assure que les enfants tiennent très bien le coup au cycle d’orientation et pour la suite aussi, paraît-il. Mais ce sont un peu des profs à l’ancienne, me dit-il :  y a pas de place pour faire les cons et tu retrousses les manches. Ça aussi c’est le génie helvétique…

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