Le parti libéral radical approche d’un instant historique.
Voilà que se présente à son choix trois candidat-e-s pour un siège apparemment fort convoité.
Trois candidat-e-s, dont une femme. Trois personnages de qualité, d’expérience et de renommée diverses, représentant chacun-e à sa manière le canton du Valais.
Une seule candidate pourtant possède un atout majeur. Elle est femme. A elle seule, elle représente donc la moitié d’une population qui peine semble-t-il à accéder aux plus hauts postes politiques en nos contrées. La voilà qui pourrait d’un coup d’un seul rétablir une iniquité, une sorte d’injustice, et rétablir quelque peu un équilibre si longtemps et injustement ignoré.
L’équilibre en politique ne peut être qu’un bienfait tant il est évident que la diversité de la population devrait être justement représentée au sein d’un gouvernement. Pourquoi sinon accorderait-on tant d’importance à la juste représentation des régions et des langues ? Comment peut-on défendre l’égalité entre le haut et le bas valais, et renier l’égalité entre les femmes et les hommes? Pourquoi accorder tant de sièges aux représentants germanophones de notre canton, et refuser aux femmes de siéger en qualité de représentantes d’une moitié de la population de ce même canton ?
Le PLR tient là une occasion rêvée de rétablir cet équilibre. De surcroît, la candidate remplit et de loin les exigences du poste auquel elle aspire. Rien ne s’y oppose, tout est dans les bulletins de vote qui demain soir, 6 septembre, se lèveront pour élire la future candidate, ou le futur candidat.
Le PLR osera-t-il ?
Il s’agira d’en avoir, des couilles, demain soir…
Le parti libéral radical approche d’un instant historique.
Voilà que se présente à son choix trois candidat-e-s pour un siège apparemment fort convoité.
Trois candidat-e-s, dont une femme. Trois personnages de qualité, d’expérience et de renommée diverses, représentant chacun-e à sa manière le canton du Valais.
Une seule candidate pourtant possède un atout majeur. Elle est femme. A elle seule, elle représente donc la moitié d’une population qui peine semble-t-il à accéder aux plus hauts postes politiques en nos contrées. La voilà qui pourrait d’un coup d’un seul rétablir une iniquité, une sorte d’injustice, et rétablir quelque peu un équilibre si longtemps et injustement ignoré.
L’équilibre en politique ne peut être qu’un bienfait tant il est évident que la diversité de la population devrait être justement représentée au sein d’un gouvernement. Pourquoi sinon accorderait-on tant d’importance à la juste représentation des régions et des langues ? Comment peut-on défendre l’égalité entre le haut et le bas valais, et renier l’égalité entre les femmes et les hommes? Pourquoi accorder tant de sièges aux représentants germanophones de notre canton, et refuser aux femmes de siéger en qualité de représentantes d’une moitié de la population de ce même canton ?
Le PLR tient là une occasion rêvée de rétablir cet équilibre. De surcroît, la candidate remplit et de loin les exigences du poste auquel elle aspire. Rien ne s’y oppose, tout est dans les bulletins de vote qui demain soir, 6 septembre, se lèveront pour élire la future candidate, ou le futur candidat.
Le PLR osera-t-il ?
Il s’agira d’en avoir, des couilles, demain soir…